Les petits ruisseaux
font les grandes rivières.
Publius Ovidius NASO dit OVIDE
(Les Métamorphoses).
Une source discrète :
c'est avec une mini-cascade que naît le ruisseau des Jardins de Métis.
Il serpente à travers les rocailles et la végétation
pour atteindre quelques centaines de mètres plus loin
un plan d'eau discret sur les bords duquel
prolifèrent différentes plantes exotiques tels
les papyrus égyptiens.
Ce sympathique petit étang
est un coin tranquille propice à la méditation.
Le trop plein d'eau s'écoule dans la rivière Mitis,
laquelle se déverse dans le fleuve Saint-Laurent tout proche.
Les Jardins de Métis, les plus célèbres jardins du Québec,
participent ainsi, inconsciemment, par une preuve tangible,
à la " vérité première " édictée par le poète latin " au grand nez ".