La soirée n'est jamais plus belle pour moi

que quand je suis content de ma matinée.

                                                                                            Denis DIDEROT                                                                                              (Le Neveu de Rameau).

Moniteurs de plongées et clients du Picantin,

après une agréable journée en mer,

se retrouvent ce soir là pour célébrer l'Amitié Internationale

(tout est prétexte à la fête chez les plongeurs)

avec Fernando, notre moniteur mexicain,

qui nous a préparé de fabuleux tacos y refrescos de son pays

dont le choix alternatif est laissé à la discrétion de chacun :

Boire et manger !

Quand on a soif... on a soif ... !

c'est la bonne excuse de Nito pour se servir à la source ...

sous le regard admiratif ou peut-être rêveur

de cette plongeuse

qui contemple les reflets argenté des eaux de

la fontaine du port de Cavalaire.

Ne soyez pas médisants et n'allez pas imaginer que ces "soirées plongeurs"

sont des bacchanales car il est bien connu que les plongeurs

boivent avec modération pour être en "pleine forme" dès le lendemain matin.

Parfois je me mets au travail avec un tel plaisir

que j'en viens à douter de ma paresse.

                                                                                                                Grégoire LACROIX  

                                                                   (Les euphorismes de Grégoire).

Le laboureur et ses chevaux

de retour des champs.

Le boulanger aligne les miches de pain doré

qu'il vient de retirer du four.

Le ferblantier calibre

un lot de taules de fer blanc.

La brodeuse traditionnelle à l'ouvrage

sur un couvre-lit.

Le fabriquant de balai américain

en paille de sorgho.

La compositrice-typographe prépare les plombs

de la prochaine édition de la Gazette.

La maîtresse d'école à son bureau

dominant la salle de classe communale mixte.

Le travail désigne l'effort physique ou intellectuel

qui doit être accompli pour créer quelque chose

ou obtenir un résultat recherché.

Vous les avez regardés

avec leurs turbans et leurs djellabas ?

                                                                                                Charles DE GAULLE 

                                                     (Propos rapporté par Alain PEYREFITTE).

Le Turban, appelé dastar  au Rajasthan,

est communément porté dans cette région de l'Inde.

Le turban est une longue pièce d'étoffe

qui, par principe, doit mesurer deux fois la taille de son porteur

et être plus large que ses épaules.

Dans l'Antiquité les dignitaires Perses portaient le pilos, un chapeau conique,

entouré de bandes de tissu ce qui peut être considéré comme l'origine du

Turban d'aujourd'hui.

Le turban moderne avec sa fantaisie

n'a plus le sens précis de l'autorité qu'il avait autrefois.

Dans la culture arabe classique, le turban était autrefois un élément culturel et spirituel important.

Pour les musulmans, il est aussi leur linceul qui ne les quitte pas :

Si la mort les surprend alors qu'ils sont seuls, ce turban permet à celui qui les trouve

de les enterrer selon le rite de l'islam dans linceul à même la terre.

Les jambes permettent aux hommes de marcher

et aux femmes de faire leur chemin.

                                                                                           Alphonse ALLAIS                                                                                                (À se tordre ).

Il suffit de mettre un pied devant l'autre et de recommencer.

comme le font les Evzones à la relève de la garde

devant le monument à la Mémoire du Soldat Inconnu Grec à Athènes.

et sans même s'en rendre compte, en toute décontraction,

on avance ... même à petits pas !

et parfois, on laisse,  lors de son passage,

la trace de ses pas sur le sable d'une plage,

comme ici à Deshaies, en Guadeloupe

Alors que, assise à la terrasse d'un café sur le Port du Pirée

une jolie femme, inconnue immobile

avance peut-être à grands pas dans son avenir ... grâce à ses jambes,

tout aussi sûrement d'ailleurs que peuvent le faire ces

gambettes russes arpentant les rues de Novgorod.

N'y aurait-il que moi pour pour avoir ce regard ?

Cela laisserait gaillardement à penser, que

lorgner les jambes des femmes avec la lubricité du loup de Tex Avery

serait une spécificité qui s'attache à ma personne ?

Le sport est école de vie.

                                                                                                  Aimé JACQUET

                                                             ( Interview l'Équipe enquête ).

Pratique de l'escalade

à l'école d'alpinisme de Torshavn aux îles Féroë .

Vive le cyclotourisme

Mais chut ! ... c'est un moment de repos

pour ce pratiquant endormi sur l'herbe verte de Batiscan lors d'une randonnée

sur les rives du fleuve Saint-Laurent au Québec .

En plongée par moins 40 mètres

un groupe d'orléanais sur un tombant de Safaga en Mer Rouge  .

L'équilibre en canoë individuel

avec James, l'ami québecquois lors d'une descente en Gaspésie

des rapides de la Rivière Bonaventure .

Une séance d'entraînement au foot-ball,

la nuit tombée, sur le stade de Saint-Barthélemy dans les Caraïbes.

Le lancer de javelot

par un ancien champion de France  (J.J. G.)

devenu par la suite entraîneur national de la spécialité.

Le sport ne fait pas vivre plus vieux

mais il fait vivre plus jeune.