Le 11 novembre 2013 dans la ville de Rijeka en Croatie,

des vents violents ont soulevé une plaque de tôle

où se trouvait un pompier.

On aurait dit Aladin sur son tapis volant. 

                                                                                                  La DÉPÊCHE du MIDI

                                                                        (Quotidien d'informations).

  Les véritables " Pompiers volants " sont en vérité les équipages

des bombardiers d'eau spécialisés pour la lutte contre les feux de forêts.

Le Canadair CL-215, avion amphibie,

a été conçu spécifiquement pour ces missions.

  C'est le plus célèbre appareil de ce type.

au point qu'en France le mot

Canadair est synonyme de bombardier d'eau.

  Le Canadair CL-215 peut emporter 5100 litres d'eau en

une dizaine de secondes d'écopage.

Le vol du premier Canadair date de l'année 1963

et le Canada l'a exporté vers une dizaine de pays.

Escadrille grecque évoluant sur la Baie de Marathon. 

Bombardiers d'eau en approche d'écopage

au large de Nea Makri village des bords de la Mer Égée.

Le bombardier d'eau successeur de l'étonnant CL-215 est

le Canadair CL-415, surnommé " Pélican " en France.

Les premières livraisons remontent à la fin de 1994.

Équipé de deux turbo-propulseurs Pratt et Whitney

  le CL-415 est actuellement unique sur le marché.

Il lui faut de neuf à douze secondes

pour remplir ses deux réservoirs de 3000 litres chacun.

Il est robuste et particulièrement fiable lors de

manœuvre de largage à basse altitude.

(Ici lors des incendies en région d'Athènes au mois d'août 2013).

Hydravions " Pélican " en fin mission

prenant de l'altitude pour rentrer à leur base.

Une légende moderne veut qu'un plongeur ait été retrouvé

sur les lieux d'un incendie éteint par un bombardier d'eau.

Les écopes utilisées par les Canadairs sont de la taille d'un verre d'eau,

afin de ne pas freiner l'avion en phase d'écopage.

De plus, les écopes présentent des grilles

dont les espaces font à peine la taille d'un doigt.

Un tel événement est donc absolument impossible.

L'amour, c'est comme un cadenas...

Il suffit de trouver la bonne combinaison.

                                                                                                                                         Myriam FILTEAU 

                                                                                                                   (Poèmes).

  Le romantisme à l’eau de rose

véhicule depuis quelques années une étrange coutume.

Le Pont Tumski à Wroclaw

est envahi par des centaines de cadenas.

On trouve ces cadenas accrochés à tous les niveaux

de cet ouvrage d'art en acier, construit en 1889

et qui enjambe l'Oder sur une longueur de 185 m.

Cette récente tradition incite les amoureux à verrouiller leur amour dans

un cadenas attaché au pont

et à jeter aussitôt la clef dans les eaux du fleuve.

Les cadenas sont souvent

marqués aux prénoms ou initiales des couples

et de la date signalant ce geste symbolique.

Mais accrocher des dizaines, des centaines,

des milliers de cadenas,

sur un ouvrage d’art, n’est pas sans conséquences.

Le poids total de ces pièces additives

augmentant sans cesse finit par peser très lourd

et peut, à la longue, réduire la résistance de certains organes

de l'ensemble non prévus à cet effet permanent.

Le "penchant" consistant à enfermer ainsi son amour

à double tour provoque d’autres dommages :

Les cadenas rouillent et dégradent les parties métalliques

ce qui risque d'affaiblir les structures les plus fragiles de l'ouvrage.

Il est possible d'imaginer un scénario catastrophe :

plombée par le poids du métal,

une partie du parapet se détache et s’écrase,

quelques mètres plus bas, sur une péniche ou un bateau-mouche.

Pour ces différentes raisons, en Italie, à Florence, il est désormais interdit

d'accrocher quoi que ce soit sur le Ponte Vecchio

sous peine de se voir infliger une amende de cinquante euros.

La Mairie de Paris étudie actuellement un problème similaire

concernant les parapets grillagés du Pont des Arts.

Un sous-marin, pour une baleine,

c'est un gros suppositoire.

                                                                                                                  Jean CARMET

                                                          (Je suis le badaud de moi-même).

Mais pour un plongeur sous-marin, rencontrer

l'épave du Rubis, c'est une plongée mythique. 

et rencontrer, lors d'une plongée en Mer Rouge

le célèbre "Napoléon Cent"

et arriver à le photographier de face est un exploit.

  Le requin marteau des Comores vous "flaire" de loin.

Il vient à votre rencontre et, prudent, s'approche de vous

seulement lorsque vous allez faire surface.

  Mais les rencontres sous-marines ne sont pas toujours

aussi stressantes :

Sur les fonds de l'île de Bagaud,  mon petit-fils Aleksandr,

que je croise avec ma palanquée, me fait signe que tout va bien.

Si vous désirez en connaître un peu plus sur " Napoléon Cent ",

cherchez dans la rubrique " Histoire de Plonger "

le récit " Petite plongée sans faim heureuse ! "

C'est l'article n° 234 , cliquez dessus et lisez.

Quand on possède le goût des gens exceptionnels,

on finit toujours par en rencontrer partout.

          Pierre Mac ORLAN

(Le Bal du Pont du Nord).

  ALVARO, excellent guide péruvien,

connaît aussi bien l'histoire de France que celle du Pérou.

Il comprend toutes les subtilités de notre langue y compris celles de "l'argot"

pour avoir vécu plusieurs années à Paris lors de ses d'études.

Pilote des Lignes de Nazca.

C'est un expert qui virevolte avec son petit avion 

dans le but de faire voir au mieux et de photographier à loisir

les lignes mystérieuses gravées au sol. 

Un piroguier Uros du Lac Titicaca 

manœuvrant sa barque en totora (jonc tressé) pour accoster

sur l'une des îles flottantes où il habite avec sa famille.

Jolie vendeuse d'olives

sur la Route Panaméricaine longeant l'Océan Pacifique

entre Nazca et Aréquipa.

VILMA, guide de charme à Machu Picchu,

la cité perdue des Andes,

nous a parlé du poète chilien Pablo NÉRUDA et de son célèbre chant

" Les hauteurs de Machu Picchu".

" Machu Picchu est un voyage à la sérénité de l'âme,

à la fusion éternelle avec le cosmos, là-bas nous sentons notre propre fragilité.

C'est une des plus grandes merveilles d'Amérique du Sud.

Un havre de papillons à l'épicentre du grand cercle de la vie.

Un miracle de plus ".

                                             Pablo NÉRUDA (Deuxième chant du Chant général).

Qu'est-ce qu'un livre ?

Une suite de petits signes. Rien de plus.

C'est au lecteur à tirer lui-même

les formes, les couleurs et les sentiments

auxquels ces signes correspondent.

                                                                                        Anatole FRANCE 

(Le jardin d’Épicure).

 " On a bouleversé

la terre

  avec des mots ".

                                                 Alfred de MUSSET (À quoi rêvent les jeunes filles).

Il est des portes sur

la mer

que l'on ouvre avec des mots.

                                                            Rafaël ALBERTI  (Poèmes de la Mer Caraïbe).

" Sur la voûte

du ciel

  notre histoire est écrite ".

                                                                           Louis RACINE  (La religion).

Une soif d'Aventures, une histoire d'Amour qui dure,

un Récit héroïque, une Chanson persistante,

la Frontière entre le Passé et le Futur,

un voilier qui s'éloigne, une terre qui apparaît à l'horizon,

une Vie perdue et une Vie vécue...

La Symphonie des Livres est sans limites !